Paul Aubrin
2017-03-27 08:33:01 UTC
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L'essentiel de l'hystérie au réchauffement climatique repose surRaw Message
l'influence, estimée prépondérante, de l'homme dans l'augmentation des
concentrations atmosphériques de CO2.
Un réseau de plusieurs stations (CDIAC) suit ces concentrations de puis
le milieu des années cinquante.
Des mesures, parfois suivies sur de longues périodes, existent depuis la
fin du 18ème siècle.
Avant, les concentrations sont estimées à partir d'indices indirects, par
exemple par les concentrations mesurées dans les carottes de glaces
fossiles de différents forages en Arctique et en Antarctique.
Le papier de Jaworoski examine pourquoi, si les données indirectes
fournissent des indications sur l'évolution des concentrations, les
valeurs absolues ne sont pas crédibles. En particulier, il rappelle le
problème de raccordement entre les séries indirectes et les mesures
instrumentales qui repose sur un décalage arbitraire de 70 ans: l'air
inclus dans les carottes de glace est censé être 70 plus récent que la
neige dans laquelle il se trouve.
En anglais.
http://www.21stcenturysciencetech.com/2006_articles/IceCoreSprg97.pdf
Ce papier détaille l'un des multiple problème qui entache la crédibilité
de l'attitude dogmatique qui aboutit à la conclusion que l'humanité
serait le facteur pratiquement unique qui régirait les températures de
l'atmosphère par ses émissions de CO2.
CDIAC
http://cdiac.ornl.gov/trends/co2/