Canta Galet
2024-10-28 11:36:27 UTC
Après vous trouverez toujours quelques crétins pour vous expliquer que
beaucoup de CO2 c'est bon pour la planète, parce que le CO2 est
indispensable au développemet de la végétation.
Vous pourrez toujours leur rappeler que l'eau aussi est indispensable à
la végétation.
Sans elle elle meurt.
Et pourtant trops d'eau pourrit les récoltes et les plantes.
Ben pour le CO2 c'est pareil.
Il faut leur apprendre que tout est question d'équilibre et que lorsque
l'équilibre est rompu, forcément la vie se dégrade.
L’agence météorologique et climatique de l’Organisation des Nations
unies a également constaté que le CO₂ s’accumulait plus rapidement
que jamais dans l’atmosphère, avec une hausse de plus de 10 % en deux
décennies.
Les niveaux des trois principaux gaz à effet de serre – le dioxyde de
carbone (CO2), le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O), qui
contribuent au réchauffement climatique – ont tous encore augmenté
en 2023, a fait savoir selon l’Organisation météorologique mondiale
(OMM), lundi 28 septembre. L’agence météorologique et climatique de
l’Organisation des Nations unies a également constaté que le CO2
s’accumulait plus rapidement que jamais dans l’atmosphère, avec une
hausse de plus de 10 % en deux décennies.
« Une autre année. Un autre record. Cela devrait sonner l’alarme
parmi les décideurs. Nous sommes clairement en retard sur l’objectif de
l’accord de Paris » sur le climat de 2015, a déclaré Celeste Saulo,
la secrétaire générale de l’OMM. Les pays avaient alors convenu de
limiter le réchauffement climatique à moins de 2 °C par rapport aux
niveaux préindustriels, et même à 1,5 °C si possible.
Déjà, les températures mondiales sur terre et en mer ont été en 2023
« les plus élevées jamais enregistrées depuis 1850 », insiste-t-elle.
Et, compte tenu de la durée de vie du CO2 dans l’atmosphère, les
niveaux de température actuels se maintiendront pendant des décennies,
même si les émissions diminuent rapidement pour atteindre zéro net.
En 2023, les concentrations de CO2 atteignaient 420 parties par million
(ppm), celles de méthane 1 934 parties par milliard (ppb) et celles de
protoxyde d’azote 336 ppb. Soit respectivement 151 %, 265 % et 125 % des
niveaux de 1750 (+ 1 point en un an pour les trois gaz).
beaucoup de CO2 c'est bon pour la planète, parce que le CO2 est
indispensable au développemet de la végétation.
Vous pourrez toujours leur rappeler que l'eau aussi est indispensable à
la végétation.
Sans elle elle meurt.
Et pourtant trops d'eau pourrit les récoltes et les plantes.
Ben pour le CO2 c'est pareil.
Il faut leur apprendre que tout est question d'équilibre et que lorsque
l'équilibre est rompu, forcément la vie se dégrade.
L’agence météorologique et climatique de l’Organisation des Nations
unies a également constaté que le CO₂ s’accumulait plus rapidement
que jamais dans l’atmosphère, avec une hausse de plus de 10 % en deux
décennies.
Les niveaux des trois principaux gaz à effet de serre – le dioxyde de
carbone (CO2), le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O), qui
contribuent au réchauffement climatique – ont tous encore augmenté
en 2023, a fait savoir selon l’Organisation météorologique mondiale
(OMM), lundi 28 septembre. L’agence météorologique et climatique de
l’Organisation des Nations unies a également constaté que le CO2
s’accumulait plus rapidement que jamais dans l’atmosphère, avec une
hausse de plus de 10 % en deux décennies.
« Une autre année. Un autre record. Cela devrait sonner l’alarme
parmi les décideurs. Nous sommes clairement en retard sur l’objectif de
l’accord de Paris » sur le climat de 2015, a déclaré Celeste Saulo,
la secrétaire générale de l’OMM. Les pays avaient alors convenu de
limiter le réchauffement climatique à moins de 2 °C par rapport aux
niveaux préindustriels, et même à 1,5 °C si possible.
Déjà, les températures mondiales sur terre et en mer ont été en 2023
« les plus élevées jamais enregistrées depuis 1850 », insiste-t-elle.
Et, compte tenu de la durée de vie du CO2 dans l’atmosphère, les
niveaux de température actuels se maintiendront pendant des décennies,
même si les émissions diminuent rapidement pour atteindre zéro net.
En 2023, les concentrations de CO2 atteignaient 420 parties par million
(ppm), celles de méthane 1 934 parties par milliard (ppb) et celles de
protoxyde d’azote 336 ppb. Soit respectivement 151 %, 265 % et 125 % des
niveaux de 1750 (+ 1 point en un an pour les trois gaz).