roaringriri
2020-03-24 05:51:15 UTC
De la guerre en cours, et pourquoi nous allons la perdre.
C’est à travers la réponse des banques à la situation actuelle, qu’on
peut lire ce qui vient de commencer, et ce qui se prépare.
Les banques prévoient d’offrir un report de 6 mois de toutes leurs
échéances aux entreprises qu’elles considèrent comme saines.
Ce qui veut dire à l’inverse, qu’elles vont détruire sciemment toutes
les autres.
C’est une décimation méthodique des entreprises qui s’annonce.
Ce qui apparaît à travers ça, c’est que cette crise sanitaire, leur sert
pour cacher un cataclysme économique, et un féroce projet global de
restructuration.
Le casino boursier qui était le cœur et le moteur du Libéralisme, vient
de s’effondrer.
La crise est un phénomène récurrent du capitalisme, qui a prouvé qu’il
était incapable d’éviter ses propres emballements, elle vient
périodiquement remettre à zéro les mécanismes de prédation.
Et de manière tout aussi récurrente, elle conduit aux guerres, ce qui
permet aux puissances économiques de récupérer la quasi totalité de la
valeur stockée et des capacités d’endettement des Etats qu’elles
contrôlent.
L’avènement du Capitalisme a correspondu à sa conquête progressive du
pouvoir « politique ».
Le pouvoir devenu absolu de l’Economie, est passé par les privatisation
des Etats.
Un mode de production mondialisé, et la privatisation des Etats, ne
pouvait que conduire à un chamboulement complet des formes de l’acte
économique que l’on désigne sous le nom de Guerre.
La notion même de « pays ennemi » a disparu.
La guerre est toujours une nécessité, les forces productives obsolètes
ou inadaptées, doivent toujours être détruites, et les populations
toujours être encadrées par la terreur et la pénurie, mais on ne peut
plus organiser des « affrontements » localisés, sauf bien sur pour
liquider des bureaucraties marginales, incapables de s’intégrer dans le
projet global.
Il n’y a pas de shadow cabinet, et évidemment personne derrière la
partie sanitaire de cette guerre, un tel foutoir n’a pas besoin d’être
prémédité ni organisé.
C’est un tropisme et de l’opportunisme, et rien d’autre.
Le Taj Mahal en allumettes construit pour vénérer le fric à simplement
pris feu, et il s’effondre, et a sa base, l’ancienne économie de
production veut reprendre le pouvoir.
On nous impose le devoir de discuter de notre santé et de celles de nos
proches, et eux discutent de la future organisation du monde et de
comment ils garderont le pouvoir.
Notre ennemi le plus déterminé n'est pas le virus, mais bien ceux qui
jouent avec.
C’est à travers la réponse des banques à la situation actuelle, qu’on
peut lire ce qui vient de commencer, et ce qui se prépare.
Les banques prévoient d’offrir un report de 6 mois de toutes leurs
échéances aux entreprises qu’elles considèrent comme saines.
Ce qui veut dire à l’inverse, qu’elles vont détruire sciemment toutes
les autres.
C’est une décimation méthodique des entreprises qui s’annonce.
Ce qui apparaît à travers ça, c’est que cette crise sanitaire, leur sert
pour cacher un cataclysme économique, et un féroce projet global de
restructuration.
Le casino boursier qui était le cœur et le moteur du Libéralisme, vient
de s’effondrer.
La crise est un phénomène récurrent du capitalisme, qui a prouvé qu’il
était incapable d’éviter ses propres emballements, elle vient
périodiquement remettre à zéro les mécanismes de prédation.
Et de manière tout aussi récurrente, elle conduit aux guerres, ce qui
permet aux puissances économiques de récupérer la quasi totalité de la
valeur stockée et des capacités d’endettement des Etats qu’elles
contrôlent.
L’avènement du Capitalisme a correspondu à sa conquête progressive du
pouvoir « politique ».
Le pouvoir devenu absolu de l’Economie, est passé par les privatisation
des Etats.
Un mode de production mondialisé, et la privatisation des Etats, ne
pouvait que conduire à un chamboulement complet des formes de l’acte
économique que l’on désigne sous le nom de Guerre.
La notion même de « pays ennemi » a disparu.
La guerre est toujours une nécessité, les forces productives obsolètes
ou inadaptées, doivent toujours être détruites, et les populations
toujours être encadrées par la terreur et la pénurie, mais on ne peut
plus organiser des « affrontements » localisés, sauf bien sur pour
liquider des bureaucraties marginales, incapables de s’intégrer dans le
projet global.
Il n’y a pas de shadow cabinet, et évidemment personne derrière la
partie sanitaire de cette guerre, un tel foutoir n’a pas besoin d’être
prémédité ni organisé.
C’est un tropisme et de l’opportunisme, et rien d’autre.
Le Taj Mahal en allumettes construit pour vénérer le fric à simplement
pris feu, et il s’effondre, et a sa base, l’ancienne économie de
production veut reprendre le pouvoir.
On nous impose le devoir de discuter de notre santé et de celles de nos
proches, et eux discutent de la future organisation du monde et de
comment ils garderont le pouvoir.
Notre ennemi le plus déterminé n'est pas le virus, mais bien ceux qui
jouent avec.